Les inscriptions relevées sur les monuments funéraires constituent
une source d’informations importante.
Cependant, il convient d’être prudent et de ne pas en tirer de conclusions
erronées, comme nous le constatons parfois.
Ainsi et à titre d’exemple, si Samuel LEVY a bien été inhumé dans le
cimetière de Durmenach, cette information n’entraîne pas ipso-facto qu’il
soit décédé dans cette dernière commune. Ceci pour une quantité de raisons
possibles. En voici quelques-unes, très courantes :
- Durmenach, comme bien d’autres cimetières israélites, « accueillait »
les défunts de plusieurs communes environnantes.
- Notre Samuel LEVY a pu de son vivant, manifester d’une manière ou d’une
autre, sa volonté d’être inhumé dans le cimetière de ses parents ou ancêtres,
bien qu’ayant quitté cette région depuis de nombreuses années. Pour preuve,
on trouve sur notre site une liste des « ayant droit » du cimetière de Durmenach
(Haut-Rhin) où les familles qui avaient réservé leurs places demeuraient dans
des communes plus ou moins éloignées, parfois dans d’autres départements français,
parfois en Suisse. L’exemple le plus récent est celui de Georges MEYER,
le président des « Galeries Lafayette », inhumé à Durmenach, bien que demeurant
à Paris.
Lorsqu’il existe un registre du cimetière, le lieu précis du décès est
très souvent renseigné, parfois il est gravé sur la tombe même. Dans le
cas contraire et s’il n’existe pas d’acte de décès dans les registres de
la commune ou se situe le cimetière, il faut procéder à des recherches
complémentaires.
Notre association peut vous guider de façon plus précise, à partir des indices recueillis, du cimetière en question et de la famille concernée.