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L'association de la généalogie juive
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En vous présentant mes meilleurs vœux pour cette nouvelle
année, de bonheur, de santé, de paix, je ne puis m’empêcher
de penser que 2012 sera ponctuée d’évènements importants.
Il y aura, bien sûr, les élections présidentielles en France, mais aussi
dans d’autres pays comme les Etats-Unis d’Amérique, la Russie ou le Sénégal. Les sportifs attendront avec impatience la Coupe de l’UEFA Euro 2012 et les Jeux Olympiques à Londres. Et les scientifiques pourront vérifier l’hypothèse d’une inversion des pôles et du champ magnétique de la terre durant cette période.
Mais, le plus essentiel pourrait être, évidemment, la fin du monde.
Prévue, selon le calendrier maya, le 21 décembre prochain ! Si cette
catastrophe se produisait, le résultat des urnes dans les pays cités
plus haut n’auraient qu’une importance toute relative. Et les exploits
sportifs ne laisseraient que peu de souvenirs dans un univers privé
de notre planète. On pourrait aussi voir le bon côté des choses, notre
disparition entraînant, automatiquement, la fin de la crise économique
mondiale et l’annulation des dettes nationales. Ainsi que l’abolition
de la menace terroriste, des guerres civiles et crimes contre l’humanité,
de la pauvreté endémique et de la pollution ambiante.
Tous les scientifiques ne partagent heureusement pas les points de vue
des pessimistes qui ne nous laissent plus que quelques mois d’espérance
de vie. Martin PETRASEK, de l’Université silésienne d’Opava, affirme que,
même si l’espèce humaine devait disparaître avant le prochain Noël,
il serait impensable que toute forme de vie soit éradiquée de notre monde.
Certes, cela n’est ni une consolation ni une particulièrement motivante
nouvelle, mais elle a au moins le mérite de laisser poindre une parcelle
d’espoir.
Plus intéressante est l’étude de Vladimir et Bohumil BÖHM,
deux scientifiques allemands. Ils remettent en cause les travaux
de l’archéologue John Eric THOMPSON qui, en 1950, avait identifié
la relation entre le calendrier maya et le nôtre. Et, donc, déterminé
la date de notre "big bang"final… Les frères BÖHM ont constaté que
THOMPSON avait oublié de tenir compte de l’occupation de deux cités-temples
par des tribus mexicaines. Se basant sur un code maya conservé
à la Bibliothèque universitaire saxonne de Dresde, ils ont ainsi pu
repousser notre voyage vers l’infini à 2116.
Afin de ne faire l’économie d’aucune piste, ajoutons que plusieurs
savants ont récemment publié une déclaration dans la Revue Natuurwetenschap
& Techniek, ne prévoyant rien d’irréparable avant… 2220 !
Si mes arrières-arrières-arrières petits-enfants tombent
sur cet article, cela confirmera que THOMPSON avait tort.
Et que la cotisation devra être réglée à GenAmi pour 2013.
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